Bonjour Globe-T,
Merci pour ce sujet découvert à mon retour de congés : une très belle découverte de poésie urbaine et la preuve que la visibilité ne fait pas la profondeur, que le vide remplit parfois l’espace de manière aussi forte.
Cat
J’adore le Nomade de Jaume Plensa ! Il veille sur les remparts de la ville, le regard plongé vers l’immensité de la Mer Méditerranée.
@architrotteuse.com
Œuvre très intéressante qui fait naître de nombreuses questions en moi… de quoi rester pendant des heures à réfléchir …
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Quelle a été ta conclusion ?
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Difficile à dire j’avoue, on réfléchit beaucoup mais il et est difficile de répondre aux réflection, ce n’est pas si mal en fait ^^
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Bonjour Globe-T,
Merci pour ce sujet découvert à mon retour de congés : une très belle découverte de poésie urbaine et la preuve que la visibilité ne fait pas la profondeur, que le vide remplit parfois l’espace de manière aussi forte.
Cat
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C’est très poétique
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J’adore le Nomade de Jaume Plensa ! Il veille sur les remparts de la ville, le regard plongé vers l’immensité de la Mer Méditerranée.
@architrotteuse.com
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C’est exactement ça kanyanga
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J’apprécie ce genre d’oeuvre, très aérienne et pourtant très présente ! 🙂
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le contraste des lettres blanches qui laissent apparaitre le ciel en transparence est très intéressant
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un très belle rencontre.
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Plensa est parfois
Tres magrittien
Transparence, ciel…
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Belle poésie en ce mercredi !
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